Gerry by Gus Van Sant
Sous mes mains glisse le vent chaud et humide
En mon corps brûle le désir de Gobi
Dans mes yeux brillent de troubles mirages
Ma bouche s’est asséchée de ces démences
S’enfoncer doucement dans ces courbes
Infinies et épurées
Qui sentent l’air délirant et vif
D’une fervente ardeur
Oublier les sombres souffrances
Ecouter le silence se coucher
Découvrir de nouveaux airs
Respirer de suaves odeurs
Laisser entrer cette nouvelle bouffée de chaleur
Pénétrante et envoûtante
Qui dégage le calme serein et transcendant
D’un souffle maléfique
Et laisser couler mon sang dans cette étrange aspiration enivrante
aujourd'hui, j'ai 20ans
Commentaires
Pour l'instant mon blog vefblog reste tel quel, je ne sais pas pourquoi finalement, j'attendais surement quelque chose. Que tu laisses un commentaire peut-être =)
Si je le mets sous mot de passe, c'est promis je te le donnerai!
J'attends impatiemment du nouveau par ici
Tiens d'ailleurs, tu sais que finalement je décolle très mal en philo Enfin en commentaire je me fait plaisir, mais en dissert', vraiment je rame, ça m'interesse tellement pas de ressortir les pensées des autres, j'ai été super déçue par ce travail de dissertation qui s'avère finalement être une sorte de débalage de cours, c'est dommage, j'avais plein d'espoir dans cette matière =)
Voilà, parenthèse faite.
J'ai failli croire que tu avais définitivement abandonné ton blog^^
Pour les rediffusions des meilleurs films de 2008, je pensais aller voir Valse avec Bashir, dont on m'a dit beaucoup de bien (parce que maintenant, j'habite dans une vraie ville, avec deux Caméo à moins de 10 minutes de marche !)