Ca faisait bien longtemps que je ne m’étais posé là pour penser à toi. Ce soir, assis entre ce fauteuil chevauché par un album photo, trois feuilles et un vieux tapis de souris « Ne ruminez plus devant votre ordinateur » et une unité centrale vulgairement accoutrée d’une lampe au rouge passé, j’angoisse à l’idée de la page blanche. Comment n’as-tu pu me manquer ? Toi, sans qui, il y a de ça des mois, je n’étais rien qu’un être humain en désespoir de reconnaissance, une chaussette sans sa comparse, un pull en été, la Terre sans eau. Cependant ces derniers temps, j’ai quand même beaucoup penser à toi et à toute cette confiance que tu m’as donnée. Je m’asseyais, à cette même place, et dans un état d’incompréhension ahurie je fixais l’écran lumineux sous la lumière blafarde de l’ampoule nue du palier. « Un jour cette plante va cramer ! », répète souvent papa en jetant un regard désapprobateur au ficus qui vient chatouiller l’ampoule. En attendant cet instant qui nous sera probablement fatale, je me languis de ces tendres moments que je passais à te raconter mes histoires, en poèmes, en prose, en mode texto, en jaune, vert ou bleu, bancales, atypiques ou banales, souvent tristes, parfois heureuses. C’était mes moments de réconfort à moi, qui me faisaient chaque fois croire un peu plus en moi, qui me persuadaient un peu plus chaque jour que le Soleil est jaune et la Lune blanche, l’herbe verte et les poussières scintillantes, le vent doux et frais, la neige glace et flocon.
Et la page blanche se remplie de caractères comme des yeux de larmes aux souvenirs heureux d’un passé presque oublié. Tiens, mais… ne sont-ce pas des paroles de chanson ? Qu’importe qu’elles soient ce qu’elles sont puisqu’elles disent ce que je suis. Je t’aime, tu sais. Si ce soir je viens te raconter toutes ces futilités, c’est qu’au fond tu m’as manqué. Ce qui me manque le plus, c’est sûrement lorsque j’étais capable d’écrire, presque avec facilité, des mots les uns à la suite des autres et que je pouvais savoir s’ils méritaient que tu les voies. Combien de textes n’ont connu que la corbeille ? Et combien ont connu ton indulgence ? Aujourd’hui je ne suis plus bon qu’à t’infliger d’affreuses suites de phrases de regret. Après tout le soutien que tu m’as apporté, je ne suis pas fier que tu lises de si tristes et mauvaises lignes. Je t’avoue avec conviction que je n’abandonne ni le chantier ni la pelle sur le chantier. Comme toujours, les travaux auront du retard, mais le Palais n’en sera que plus beau.
Laisser tomber les feuilles, c’est leur laisser une chance de s’épanouir
Les arracher aux arbres, c’est leur enlever tout espoir de plénitude
Mise à jour de La vie c'est aussi ça (menu), et merci à ceux qui me lisent encore.
Assis
Sur la balançoire
Le vent souffle et le soleil se couche - déjà
Trois portraits
Androgyne
Garçon
Jeune fille
Mink le 30-09-2008 à 17:22:42 # (site)
Coucooou ! <3
Je suis de retour moi aussi . =DD
Merci du fond du coeur pour tes gentils commentaires , à chaque fois ils me remonte le moral ou me font sourire . Tu es super gentil . <3
Donc je suis de retour . J'ai pas d'idée d'article mais je reviens . =)
Et je suis bien contente ! <3
Doucee Soirée Lanceur de Couteaux . <3
johnmandrake666 le 28-09-2008 à 11:37:55 # (site)
J'aime beaucoup le premier et le troisième^^
On n’oublie jamais…
Les larmes dans le bleu du ciel
Qui pleurent la vie de leurs souvenirs
Dans le rouge de mes yeux injectés
Pris d’un désespoir féminin
Les sourires dans le scintillement du soleil
Qui rient le bonheur de leurs instants paisibles
Dans l’éclat mystérieusement rouge de mes lèvres heureuses
Prises d’une folle ardeur subite
La sincérité dans la bouche du vent
Qui souffle un air passionné
Dans la fraîcheur de mon cou
Pris par surprise d’un désir caché
Le partage dans les chaudes mains du champ de blé
Qui caressent la douceur d’une belle journée
Dans les profondes cambrures de mon dos agilePris par surprise d’un engouement inconnu
Seul l’épicurisme entend les cris du plaisir
[note : mise à jour de La vie c’est aussi ça]
rimesoudeprime le 09-09-2008 à 14:01:11 # (site)
si tu aimes les poémes fais passer l'adresse de mon blog.
merci d'avance.
Cindynette le 08-09-2008 à 20:46:20 # (site)
Bonsoir.
Tu te rappelles, l'article que tu m'avais demandé, il y a quelques mois ?
... Eh bien il est fait.
Oui oui, je parle bien de l'article sur mon Vef'.
Voilà. Je voulais te prévenir, ahah.
Si tu parles toujours à Mink, préviens là, ça pourrait l'intéresser. Enfin je ne sais pas, j'ai l'impression.
Bisous.
tilt le 06-09-2008 à 08:46:12 #
C'est très beau.
Merci pour tes commentaires toujours aussi riches, ça me fait plaisir de te revoir par ici
Nous ne nous tenons jamais au temps présent.
Nous anticipons l'avenir comme trop lent à venir,
comme pour hâter son cours, ou nous rappelons le
passé pour l'arrêter, comme trop prompt : si
imprudents que nous errons dans des temps qui
ne sont point nôtres, et ne pensons point au seul
qui nous appartient ; et si vains que nous songeons
à ceux qui ne sont rien, et échappons [laissons
échapper] sans réflexion seul qui subsiste. C'est
que le présent, d'ordinaire, nous blesse. Nous le
cachons à notre vue, parce qu'il nous afflige ; et
s'il nous est agréable, nous regrettons de le voir
échapper. Nous tachons de le soutenir par l'avenir,
et pensons disposer les choses qui ne sont pas en
notre puissance, pour un temps où nous n'avons
aucune assurance d'arriver.
Que chacun examine ses pensées. Il les trouvera
toutes occupées au passé ou à l'avenir. Nous ne
pensons presque point au présent, et si nous y
pensons ce n'est que pour en prendre la lumière
pour disposer de l'avenir. Le présent n'est jamais
notre fin [notre but]. Le passé et le présent sont
nos moyens ; le seul avenir est notre fin. Ainsi nous
ne vivons jamais, mais nous espérons vivre ;
et, nous disposant toujours à être heureux,
il est inévitable que nous ne le soyons jamais.
Blaise Pascal
Extrait de Pensées sur le temps,
un des Carnets de philosophie
de André Compte-Sponville
johnmandrake666 le 21-07-2008 à 18:56:10 # (site)
Ah... c'est agréable d'avoir une petite news ici^^
not-VintAge le 15-07-2008 à 05:43:19 #
Pour deezer avec le lecteur ki demarre spontanément tu peus le modifié en modifiant ton lecteur exportable une fois sa tu decoche " lecture automatique " à ce moment tu copie ton lien et tu l'ajoute et comme par magie plus de musique automatique mais les gens peuvent l'écouter en cliquant sur " play " bien sure
(suite et fin)
Novembre arriva sur la pointe des pieds avec une énorme surprise. Tel le Père Noël, il déposa délicatement les vacances de Toussaint au début de l'hiver et reparti tout aussi discrètement. J'apprécie particulièrement les vacances de Toussaint parce que le début d'année est toujours exténuant. Et enfant pourri gâté que je suis, je sautai dessus avec gourmandise et les englouties d'une seule et même bouchée appétissante qui s'avéra écoeurante par la suite.
Mister Dea venait de son Manchester français pour voir des amis, profita de l'occasion pour me découvrir de plus près. Nous avons descendu et monté cent vingt-quatre marches, traversé deux métros, exploré un cinéma, un square, vingt-et-une rues, tournés trois fois en rond, longé le Parc du Luxembourg, croisé la jungle tropicale, n'avons pas réussi à nous perdre et nous sommes quittés, chacun se faisant engloutir par un tunnel différent.
Mais Novembre est égoïste et sa Toussaint, au bout d'un certain temps, il aime bien qu'on la lui rende. Et alors qu'on ne le soupçonnait pas d'un tel égocentrisme, il dévoila sa double personnalité : n'aimant pas les enfants pourris par le désir avide de cadeaux, mais vides de partage, il se vengea en un coup violent de fouet, faisant de fait dégringoler tout le bonheur du malheureux petit être sans défense - moi. C'est ainsi que mon château de cartes, que j'avais réussi à construire en entier après de nombreuses tentatives, s'écroula magistralement d'un coup d'un seul.
Je n'eus aucune nouvelle de Mister Dea pendant deux semaines et quatre jours. Et quand enfin j'en eus, c'était pour apprendre qu'une certaine Camille avait fait irruption dans sa vie. De plus, il était trop tard pour jeter les dés avec Alex. Et la forêt tropicale était envahie par des démons enragés qui refusaient une nouvelle construction de routes et qui, pour lutter, organisaient des réunions tribales excluant tout étranger. J'ai très vite attrapé la tourista.
Décembre étant un très bon ami de Novembre, il ne laissa pas l'action de ce dernier inachevée et souffla violemment d'un vent glacial qui balaya mes cartes d'une traite et pétrifia tout sur son passage. Plus de château, plus même de cartes. Plus de Mister Dea, plus même d'yeux bleus à l'horizon. Le désespoir du vide. La peur du précipice. Mes tentatives pour retrouver et récupérer mes cartes restèrent vaines.
Et ce n'est qu'aujourd'hui que je réalise que si j'avais osé lancer les dés, j'aurais plutôt construit un mur qu'un château de conte de fées et je serais dans les bras de mon Prince Charmant. A la place de quoi, je n'ai plus mes deux espèces de bouts de ficelle au poignet droit, je n'ai bientôt plus cours et je mange des plats tout prêts deux jours sur sept.
Il fait beau, le soleil brille et le vent brise les sentiments
tilt le 03-07-2008 à 17:04:32 # (site)
Ah ça fait plaisir d'avoir un peu de tes nouvelles =) C'est marrant que tu m'ai laissé ce commentaire juste aujourd'hui parce que justement cet aprèm je suis repassée un peu sur ton blog, parcourant un peu toutes les pages
En tout cas merci pour ton commentaire, ça me fait très plaisir, même si je ne suis pas sûre d'être aussi... "bien" que tu le dis... Bien que je crois que tu cernes bien ce que je suis au fond...
En tout cas, au plaisir de te relire très vite!
Cindynette le 01-07-2008 à 08:33:31 #
En te laissant ce message la dernière fois, j'avais complètement oublié que je partais à Biscarosse (une ville à quelque kilomètres de Bordeaux, avec la plage, tout ça, ...).
J'ai réussi à emprunter l'ordinateur de mon cousin cinq minutes. Je viens donc te prévenir que l'article sur mon vef', et la lecture de "Obsession" se feront à mon retour à Bordeaux, c'est à dire lundi prochain.
Voilà. Je me sauve, le cousin gueule. :]
Bises, à la prochaine !
Cindynette le 29-06-2008 à 23:33:15 # (site)
Woah, shit !
Désolée pour le triple commentaire. T'auras qu'à en supprimer deux, et celui-ci aussi, par la même occasion. :]
Bises, à plus !
Cindynette le 29-06-2008 à 23:31:47 #
Bonsoir jeune homme.
Je viens prendre des nouvelles, étant donné que cela fait longtemps que je n'ai pas eu un de tes commentaires que j'apprécie tant.
Les vacances ont enfin pointé le bout de leur nez. Ca fait du bien, depuis le temps qu'on les attendait.
Que fais-tu, à la rentrée ?
Moi je passe en seconde. Eh oui, cette année j'ai redoublé ma troisième, et j'ai commencé ma scolarité à quatre ans au lieu de trois. Ce qui fait que cette année je me suis retrouvée en troisième à seize ans. Ce n'était pas vraiment super, les mentalités sont différentes, on ne se rend pas vraiment compte comme ça, mais deux ans de différence, ça change beaucoup de choses.
Sinon, on ce moment, ma vie est de plus en plus débridée. Je pense que ce n'est pas vraiment une bonne chose, je devrais me calmer. Mais c'est tellement bon. J'ai été pas mal privée depuis un an, après les conneries que j'ai faites. Et maintenant qu'on m'a redonné beaucoup de libertés, j'en profite. Le problème est que, au bout d'un moment, si je continue comme ça, les privations vont recommencer. Oui, je crois que je devrais vraiment me calmer.
Je dois t'embêter avec mes histoires de petite adolescente un peu trop insouciante. Enfin, je sais que tu vas me répondre "Mais non, tu ne m'embêtes pas du tout, ...", comme pour toutes les autres fois où je te racontais ma vie. :]
Je me rends compte que, en fin de compte, quand tu me laisses un message, je ne te réponds jamais, ou très brêvement (et je m'en excuse!), et aujourd'hui que tu ne m'as laissé aucun message, c'est moi qui t'écris assez longuement (je devrais peut-être abréger mon roman, d'ailleurs!).
Tes messages doivent sans doute me manquer, ahah ! ^^
Je vais te laisser et aller me coucher. Je reviendrais demain pour lire "Obsession", et très certainement te complimenter, parce que ce que tu écris est toujours très joli.
Je n'ai pas oublié pour l'article sur vefblog que je t'ai promi la dernière fois. J'ai aussi une nouvelle photo, comme convenu ! Je ferai ça aussi demain (promi promi promi!). :]
Sur-ce, à la prochaine !
Cindynette le 29-06-2008 à 23:31:47 #
Bonsoir jeune homme.
Je viens prendre des nouvelles, étant donné que cela fait longtemps que je n'ai pas eu un de tes commentaires que j'apprécie tant.
Les vacances ont enfin pointé le bout de leur nez. Ca fait du bien, depuis le temps qu'on les attendait.
Que fais-tu, à la rentrée ?
Moi je passe en seconde. Eh oui, cette année j'ai redoublé ma troisième, et j'ai commencé ma scolarité à quatre ans au lieu de trois. Ce qui fait que cette année je me suis retrouvée en troisième à seize ans. Ce n'était pas vraiment super, les mentalités sont différentes, on ne se rend pas vraiment compte comme ça, mais deux ans de différence, ça change beaucoup de choses.
Sinon, on ce moment, ma vie est de plus en plus débridée. Je pense que ce n'est pas vraiment une bonne chose, je devrais me calmer. Mais c'est tellement bon. J'ai été pas mal privée depuis un an, après les conneries que j'ai faites. Et maintenant qu'on m'a redonné beaucoup de libertés, j'en profite. Le problème est que, au bout d'un moment, si je continue comme ça, les privations vont recommencer. Oui, je crois que je devrais vraiment me calmer.
Je dois t'embêter avec mes histoires de petite adolescente un peu trop insouciante. Enfin, je sais que tu vas me répondre "Mais non, tu ne m'embêtes pas du tout, ...", comme pour toutes les autres fois où je te racontais ma vie. :]
Je me rends compte que, en fin de compte, quand tu me laisses un message, je ne te réponds jamais, ou très brêvement (et je m'en excuse!), et aujourd'hui que tu ne m'as laissé aucun message, c'est moi qui t'écris assez longuement (je devrais peut-être abréger mon roman, d'ailleurs!).
Tes messages doivent sans doute me manquer, ahah ! ^^
Je vais te laisser et aller me coucher. Je reviendrais demain pour lire "Obsession", et très certainement te complimenter, parce que ce que tu écris est toujours très joli.
Je n'ai pas oublié pour l'article sur vefblog que je t'ai promi la dernière fois. J'ai aussi une nouvelle photo, comme convenu ! Je ferai ça aussi demain (promi promi promi!). :]
Sur-ce, à la prochaine !
Cindynette le 29-06-2008 à 23:31:33 #
Bonsoir jeune homme.
Je viens prendre des nouvelles, étant donné que cela fait longtemps que je n'ai pas eu un de tes commentaires que j'apprécie tant.
Les vacances ont enfin pointé le bout de leur nez. Ca fait du bien, depuis le temps qu'on les attendait.
Que fais-tu, à la rentrée ?
Moi je passe en seconde. Eh oui, cette année j'ai redoublé ma troisième, et j'ai commencé ma scolarité à quatre ans au lieu de trois. Ce qui fait que cette année je me suis retrouvée en troisième à seize ans. Ce n'était pas vraiment super, les mentalités sont différentes, on ne se rend pas vraiment compte comme ça, mais deux ans de différence, ça change beaucoup de choses.
Sinon, on ce moment, ma vie est de plus en plus débridée. Je pense que ce n'est pas vraiment une bonne chose, je devrais me calmer. Mais c'est tellement bon. J'ai été pas mal privée depuis un an, après les conneries que j'ai faites. Et maintenant qu'on m'a redonné beaucoup de libertés, j'en profite. Le problème est que, au bout d'un moment, si je continue comme ça, les privations vont recommencer. Oui, je crois que je devrais vraiment me calmer.
Je dois t'embêter avec mes histoires de petite adolescente un peu trop insouciante. Enfin, je sais que tu vas me répondre "Mais non, tu ne m'embêtes pas du tout, ...", comme pour toutes les autres fois où je te racontais ma vie. :]
Je me rends compte que, en fin de compte, quand tu me laisses un message, je ne te réponds jamais, ou très brêvement (et je m'en excuse!), et aujourd'hui que tu ne m'as laissé aucun message, c'est moi qui t'écris assez longuement (je devrais peut-être abréger mon roman, d'ailleurs!).
Tes messages doivent sans doute me manquer, ahah ! ^^
Je vais te laisser et aller me coucher. Je reviendrais demain pour lire "Obsession", et très certainement te complimenter, parce que ce que tu écris est toujours très joli.
Je n'ai pas oublié pour l'article sur vefblog que je t'ai promi la dernière fois. J'ai aussi une nouvelle photo, comme convenu ! Je ferai ça aussi demain (promi promi promi!). :]
Sur-ce, à la prochaine !
schizophrenia le 11-06-2008 à 13:32:16 # (site)
bonjour
tu ne te souvien suremen plus de moi ..
en relisant mon vieux blog je suis tombé sur de vieux messages ^^
qui m'ont fait penser à toi
donc je voulais savoir comment tu allais
moi j'ai bougé et c'est ici
http://not-vintage.vefblog.net
aurevoir poète j'attends de tes nouvelles
tilt le 13-05-2008 à 17:56:18 #
Il faut que je laisse un commentaire, sinon ça voudrait dire que je suis passé à côté de ces articles qui, pour la première foi sans doute depuis le début de ce blog, sont bien plus que les jolis mots que nous avons l'habitude de savourer ici.
Cela dit, je ne sais même pas quoi écrire face à ces mots plein de justesse.
Je me contenterais de dire que ces articles, on les aura attendu, on les aura lu, et on les aura savourés pour leur sincérité...
écrits de poètes en vogue
tilt le 13-11-2008 à 20:45:23 # (site)
«Et je me sens
comme un ver de terre dans le sable
comme un western sans les chevals
comme les pauvres sans la misère
comme un banquier à découvert
comme le journal d'avant-hier
comme Macumba sans Mader
comme un rappeur sans le staïle
comme un japonais Sankuaï
comme George Bush à l'etranger
comme Cauet sur Arte... »
Lire tes expressions "une chaussette sans sa comparse, un pull en été" m'a fait penser à ces paroles des Fatals Picards. Sous leur aspect comique, ils ont des sacrés textes.
Bref, moi je viens toujours lire. Je ne saurais pas répondre si tu me demandais Pourquoi, mais voilà.
édité le 13-11-2008 à 21:45:59